Le serpent de mer du 2ème pont va-t-il être localisé ?

Votée le 12/01/20  à l’Assemblée Générale de la SEPRA

 

    Il y a plus de deux mois, notre association s’était adressée aux adjoints à l’urbanisme  de Rabastens, Couffouleux, Loupiac, Lisle-sur-Tarn, Salvagnac, (et au vice président de la communauté d’agglomération Gaillac-Graulhet). La Sepra demande à chacun des conseils d’intercéder auprès du département pour lancer une étude sur la localisation d’un deuxième pont (et  dessertes) au dessus du Tarn entre Rabastens et Couffouleux.  

Ceci n’ayant pas été mis à l’ordre du jour des derniers conseils des municipalités en fin de mandat, nous nous adressons dès maintenant  à vous, et  sous forme de lettre ouverte, afin que les citoyen(ne)s intéressé(e)s puissent appuyer notre démarche.

 

    La nécessité  du 2ème pont est reconnue depuis  longtemps : déjà par l’ancien maire Jean Marty dans les années 70, et il y a 12 ans dans le  SCoT (Schéma de Cohérence  Territoriale). En effet, la construction du pont actuel a été décidée en 1920. Son dimensionnement et son emplacement ne correspondent plus aux besoins en progression constante depuis la création de l’A68. Il engendre d’importants problèmes de circulation et rend dangereuse son utilisation tant pour les véhicules à moteur que pour les vélos et piétons.

Le 2ème pont est la condition nécessaire à un urbanisme harmonieux de tout  le secteur: suivant l’INSEE la population au 1-01-17 dans  « l’unité urbaine/l’agglomération » de Rabastens,  était de « 8500 habitants », avec un taux de progression, par rapport à 2012, de « 1,8% à 2,3 % », le plus important de tout le Tarn, et ceci a continué lors des trois dernières années.

 

     Certes, cela représente un investissement très important (que nous avons estimé à ~30 millions d’euros : voir notre site, à propos de l’enquête publique sur l’autoroute Castres-Toulouse).

 

Mais il convient de ménager l’avenir, par cette  étude peu coûteuse : sinon il s’établira des constructions, rendant impossible la réalisation. C’est ce qui menace à Rabastens et encore plus à Couffouleux. 

Votée le 12/01/20  à l’Assemblée Générale de la SEPRA

 

    Il y a plus de deux mois, notre association s’était adressée aux adjoints à l’urbanisme  de Rabastens, Couffouleux, Loupiac, Lisle-sur-Tarn, Salvagnac, (et au vice président de la communauté d’agglomération Gaillac-Graulhet). La Sepra demande à chacun des conseils d’intercéder auprès du département pour lancer une étude sur la localisation d’un deuxième pont (et  dessertes) au dessus du Tarn entre Rabastens et Couffouleux.  

Ceci n’ayant pas été mis à l’ordre du jour des derniers conseils des municipalités en fin de mandat, nous nous adressons dès maintenant  à vous, et  sous forme de lettre ouverte, afin que les citoyen(ne)s intéressé(e)s puissent appuyer notre démarche.

 

    La nécessité  du 2ème pont est reconnue depuis  longtemps : déjà par l’ancien maire Jean Marty dans les années 70, et il y a 12 ans dans le  SCoT (Schéma de Cohérence  Territoriale). En effet, la construction du pont actuel a été décidée en 1920. Son dimensionnement et son emplacement ne correspondent plus aux besoins en progression constante depuis la création de l’A68. Il engendre d’importants problèmes de circulation et rend dangereuse son utilisation tant pour les véhicules à moteur que pour les vélos et piétons.

Le 2ème pont est la condition nécessaire à un urbanisme harmonieux de tout  le secteur: suivant l’INSEE la population au 1-01-17 dans  « l’unité urbaine/l’agglomération » de Rabastens,  était de « 8500 habitants », avec un taux de progression, par rapport à 2012, de « 1,8% à 2,3 % », le plus important de tout le Tarn, et ceci a continué lors des trois dernières années.

 

     Certes, cela représente un investissement très important (que nous avons estimé à ~30 millions d’euros : voir notre site, à propos de l’enquête publique sur l’autoroute Castres-Toulouse).

 

Mais il convient de ménager l’avenir, par cette  étude peu coûteuse : sinon il s’établira des constructions, rendant impossible la réalisation. C’est ce qui menace à Rabastens et encore plus à Couffouleux.